Parc du Louvre-Lens

Descriptif de l'établissement

Un parc entre passé et avenir.

Intégré dès l’origine au projet architectural, le parc de 20 hectares, fort de ses onze entrées, est un trait d’union entre le musée et la ville. La paysagiste française Catherine Mosbach y a façonné la nature dans une démarche attentive aux évocations du passé et sensible à l’écosystème local.

La mine en citation
Au nord et au sud, trois grands axes ont été aménagés afin de traverser
rapidement le parc d’est en ouest sur toute sa longueur. Ils reprennent les
lignes des anciens cavaliers, ces voies ferrées qui servaient à transporter
le charbon vers la gare. Ailleurs, des sentiers invitent à flâner
entre forêt, prairies fleuries, pelouses, esplanades et miroir d’eau, comme dans les jardins baroques italiens et français, propices à la déambulation.

Un réservoir de biodiversité
Après l’arrêt de l’activité minière, les dépôts de schistes et de grès sont devenus des refuges pour une flore diversifiée. La construction du musée a eu un impact
volontairement limité sur les espèces qui avaient colonisé le terril. Des zones ont ainsi été aménagées pour préserver des espèces végétales remarquables, telles que l’astragale à feuilles de réglisse, une plante protégée très rare dans le Nord de la France, et la molène floconneuse.

Le parc est ouvert tous les jours même le mardi lorsque le musée est fermé.
Du 16 avril au 31 octobre, de 7h à 21h.
Du 1er novembre au 15 avril, de 8h à 19h.